Archives quotidiennes : juin 22, 2007

Ça va mal?

Ça va mal aujourd’hui ?

Il y a des jours comme ça…

Mais tu n’as pas le choix de continuer…
Le bonheur parfait sur la terre est difficile à trouver
Je pense même qu’il ne doit pas exister
Alors au lieu de le chercher
Contente-toi de ce que la vie t’a donné.
Et comme on dit souvent…
Après la pluie, le beau temps !

Regarde autour de toi
Tu verras que tu n’es pas seul dans ton cas
Des problèmes, tout le monde en a
Chacun essaie de les surmonter
On n’a pas le choix, il faut continuer…
De grimper sur la route de la vie souvent… escarpée
Souvent, ça prend des maudits bons crampons…
Si on ne veut pas finir seul et misérable dans son salon.

On passe tous par de durs moments
On se dit que rien ne sera pareil comme avant
Et tout à coup, on se lève un matin
Et juste l’air et le soleil nous font du bien
On réalise qu’on était juste un peu dépassé
Qu’il y a de belles choses à regarder
Si on prend le temps de s’y arrêter
Et de regarder de tous les côtés.

N’oublie pas que chaque 24 heures
Est un bonheur à savourer
Essaie de bien vivre chaque journée
Car après… ce sera bel et bien fini, crois-moi
La réincarnation, ce n’est pas tout le monde qui y croit !

Alors… reprends-toi !

…et je te souhaite une bonne journée !

Voyage métaphorique proposé par Dida,

Sur les sombres quais de la vie…
De petits enfants perdus…
Les uns rêveurs…
Les autres en pleurs…
Et les plus hardis se jettent dans l’oubli…
Les rêveurs…
Regardent avec stupeur…
Ce train…qui vient de loin…
En plissant leurs yeux éblouis…
Ils plongent dans un rêve infini…
Qui les emmènent très loin d’ici…
Les pleurnicheurs…
Paniquent en voyant sa vitesse et sa grandeur…
Tout seuls… tout petits devant cette chose bizarre…
Ils tremblent…ils ne savent pas quoi faire…
Faut-il le prendre…
Ou bien faut-il encore attendre…
Ils appellent au secours…
Ils demandent de l’aide…
Puis ils font comme tout le monde…
Et foncent vers ces portes qui s’ouvrent…
Sans même savoir…
Si elles mènent au paradis ou à l’enfer…
Les derniers…
Ne quittent pas ce quai sombre…
Silencieux…pensifs…
Ils se tiennent à l’ombre…
le train avec ses lumières ne les éblouit pas…
Ne les impressionne pas…
Sa vitesse et sa grandeur ne les effraient pas…
Sa destination ne les intéresse pas…
Dans ce silence funèbre…
Ils sourient à la mère des ténèbres…
Elle leur tend la main…
Une main froide…
très froide…
Mais ces pauvres petits ne s’en aperçoivent pas…
Vu qu’on ne leur a jamais tendu la main auparavant…
Ils avancent…
Doucement…
Sûrement…
Ils se laisse guider vers les railles…
Ils s’allongent…
les yeux fermés…
Les bras croisés…
En attendant ce premier baiser…
Que la mort leur a promis…
Au prochain passage du train de la vie…